Nos racines
Le MIR, Mouvement international de la Réconciliation, branche française d’IFOR1, fonde son engagement et son service sur le message de la non-violence et de la réconciliation tel qu’il est révélé en la personne de Jésus Christ dans l’Evangile, notamment dans les Béatitudes et le Sermon sur la montagne.
Nos objectifs
Intimement convaincu que ce message de Jésus Christ nous appelle aujourd’hui plus que jamais au combat pour la justice, la paix et la dignité des personnes, le MIR s’est fixé comme objectif :
La dénonciation de la guerre et de la culture de violence
La promotion d’une culture de non-violence active et de paix
Le dialogue et la réconciliation entre les personnes, les peuples, les cultures et les religions
La mise en place et le renforcement de structures politiques démocratiques, structures sociales et économiques plus justes dans et entre les diverses parties du monde
L’interpellation fraternelle des croyants, des Eglises et des communautés chrétiennes, sur leur vocation et leur responsabilité dans ces domaines
Nos engagements
En conséquence, nous résistons avec la plus grande fermeté
A l’usage de la violence comme moyen de régler les conflits
-entre personnes
-entre groupes et communautés
-entre nations
Au recours à la guerre et à tout ce qui tend à l’organiser ou la justifier
A la fabrication et au commerce de toutes les armes, particulièrement les armes nucléaires
Aux autres formes de violence et de domination, parfois plus insidieuses : violences économiques et écologiques ; nationalisme ; totalitarisme ; racisme ; exclusions ; exploitation des hommes, femmes et enfants …
Nous travaillons
A la recherche théologique sur la non-violence et ses implications pratiques au sein des Eglises chrétiennes et des autres traditions religieuses
A l’éducation à la paix, à la formation à la médiation et à la résolution non-violente des conflits
A la reconnaissance de l’objection de conscience à l’obligation militaire
A l’analyse des causes et des formes d’injustices et de violences dans notre société et à la recherche des moyens non-violents pour y remédier, jusqu’à la désobéissance civile.
Comité national
10 juin 2007