L’objection de conscience est un droit humain internationalement reconnu. Malgré cela, de nombreuses personnes, originaires de régions en guerre ou de pays impliqués dans des guerres sont contraintes de faire leur service militaire, et tentent de s’y soustraire. Certains sont emprisonnés, et, dans certains pays, risquent la peine de mort ; d’autres sont déserteurs des champs de bataille. Ils demandent protection et soutien.
Une campagne internationale initiée par le BEOC, l’IFOR, l’IRG et Connection e.V., depuis la guerre d’invasion de l’Ukraine par la Russie, soutient les objecteurs de conscience, les déserteurs, et les pacifistes russes, biélorusses et ukrainiens. Ce dossier s’en fait l’écho.
Vous trouverez également une réflexion d’Antoine Arjakovski sur la nécessaire réforme du mouvement oecuménique tandis que Maria Biedrawa rend hommage à Mgr Taban, artisan de paix au Soudan du Sud.
Ce numéro paru en janvier 2024 peut être commandé au secrétariat du MIR.